Перевод письма
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<Петербург, середина апреля 1840 г.>
Cher o<n>cle, je prends la liberté de vous supplier d'intercéder
pour moi dans une affaire que vous seul pouvez arranger,
et je suis sûr que vous ne me refuserez pas votre protection.
Grand'maman est dangereusement malade, tellement qu'elle
n'a pas pu même me l'écrire, le domestique est venu me chercher
croyant que j'étais déjà liberé. J'ai demandé au commandant
quelques heures seulement pour aller la voir, j'ai écrit au
général mais comme cela dépend du Monseigneur, il n'ont rien
pu faire.
Ayez pitié de Grand'maman, si ce n'est de moi, et obtenez
un jour pour moi car le temps presse...
Je n'ai pas besoin de vous parler de ma reconnaissance et
de mon chagrin, car votre coeur me comprendra complètement
Je suis votre tout dévoué M. Lermontoff.
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